I. Brêves des Conceptu'Elles

1. Anna Kronic aime le concept :

Margot, une jeune femme de 19 ans atteinte d'une maladie du tissu conjonctif, le syndrome d'Ehlers Danlos, nous présente la théorie des cuillères, d’après Christine Miserandino, qui accompagne beaucoup de personnes malades, handicapées, autistes... Les vidéos qu’elle poste sur You Tube lui permettent de parler de son quotidien, dédramatiser la maladie et ouvrir les gens à la différence…

Pour voir sa vidéo ajoutée le 20 avril 2016 : un clic ICI !!

A noter, c'est très juste ce que dit Margot dans la vidéo, on peut avoir très peu de cuillères certains matins, un peu plus à d'autres moments... On apprend à faire avec, on apprend à faire des choix, à privilégier ce qui nous est essentiel et donc à savoir ce qu'est cet essentiel... Après, c'est vrai que le regard des autres est parfois dur à gérer, mais là aussi, on apprend, à faire ce qui est juste pour soi, pour son équilibre... Ceux qui comprennent, merci à eux, pour les autres... Et bien on apprend à faire sans (là aussi, on fait du tri !) !!!

Voir le blog de Margot : Vivre Avec

Voir aussi sa page Facebook : Hermine Vivre Avec

Voir également la traduction du récit de Christine Miserandino sur le blog : Ma vie de Zèbre

2. Ambre Hellemes aime le concept :

A l’occasion du 14ème Congrès International de Gynécologie, Obstétrique et Reproduction de la Côte d’Azur, Gynazur et l'association ENDOmind vous attendent dans la salle Fitzgerald du Palais des Congrès d'Antibes Juans-les-Pins pour une réunion d'information grand public sur l'endométriose. Le jeudi 26 mai de 18h à 19h au Palais des Congrès - Antibes Juan les Pins (60, Chemin des Sables, 06 160 Juan-Les-Pins, Provence-Alpes-Côte d’Azur), vous êtes invités à venir vous informer et poser toutes vos questions sur la maladie et sa prise en charge !

Voir la page de l’évènement sur Facebook : Endométriose, réunion d'information - CONGRES GYNAZUR

Et retrouvez ici le programme du congrès : Gynazur.eu

3. Jeanne Sorensen aime le concept

Prostaglandines de guerre versus prostaglandines de paix…

(d'après les informations lues sur le site du naturopathe Christopher Vasey)

Les anti-inflammatoires sont des remèdes capables de réduire, voire de supprimer les réactions inflammatoires. Ils en diminuent les manifestations excessives et, par là, soulagent le malade de ses douleurs. Pour comprendre leur mode d'action, il est nécessaire d'entrer un peu dans la biochimie des inflammations et de parler en particulier d'un médiateur (substance possédant la faculté de déclencher une réaction bien précise dans le corps) qui est fondamental dans ce processus de défense : les prostaglandines.

Sitôt qu'une cellule est agressée, elle libère deux sortes de prostaglandines :

Les premières sont appelées prostaglandines de guerre. Comme leur nom l'indique, elles déclenchent et préparent la réaction défensive du corps. Il ne s'agit cependant pas d'une défense passive, mais au contraire d'une défense active et agressive, puisque des globules blancs attaqueront et se battront contre l'envahisseur. Les prostaglandines de guerre réveillent, excitent, mettent en état d'ébullition les systèmes d'attaque avec lesquels le corps agresse l'ennemi pour le détruire.
Tout combat entraîne cependant de nombreux dégâts (…). La durée d'un conflit ne peut par conséquent pas être illimitée. S'il dure trop longtemps, d'importants dégâts en résultent. Un frein doit donc être apporté aux processus d'attaque et de destruction mis en place par l'organisme. La responsabilité en incombe à une deuxième sorte de prostaglandines, nommées prostaglandines de paix. Leur action a pour but d'atténuer, de calmer, voire d'interrompre la réaction inflammatoire.

Les causes des inflammations chroniques sont multiples. Le plus souvent, la cause en est que les forces protectrices du corps, celles qui dépendent des prostaglandines de paix, sont trop faibles par rapport à celles d'attaque qui dépendent des prostaglandines de guerre. Il se peut aussi que la cause de l'inflammation n'ait pas été supprimée : l'infection, le poison ou l'allergène n'a pas encore été neutralisé. Sa présence entretient la réaction de défense. Une autre raison est que le terrain est très surchargé en toxines et c'est contre celles-ci et les dégâts qu'elles occasionnent dans la région atteinte, que les forces de défense se mobilisent. Étant donné le rôle des prostaglandines lors des inflammations, il y a deux manières dont la thérapie anti-inflammatoire peut procéder :

• soit elle vise à bloquer la production des prostaglandines de guerre (qui est en excès)

• soit elle cherche à augmenter celle des prostaglandines de paix (qui est insuffisante).

Pour aller plus loin, lire l’article complet : Les anti-inflammatoires naturels

Voir aussi ce document pdf mis à disposition par l’Association Endofrance qui parle de prostaglandines et d’anti-inflammatoires : « Lutter contre la douleur »